Les traditions sont difficiles à rompre. Elles naissent des cultures, des divertissements, de la société, de la géographie et des habitudes des générations. Dans les pays occidentaux, en matière de santé, la tradition est d’attendre que les symptômes apparaissent avant de faire quoi que ce soit. Nous pensons qu’être jeune et en bonne santé signifie pouvoir choisir nos activités. Une fois les symptômes apparus, il est trop tard et nous aimerions pouvoir faire quelque chose plutôt que d’attendre que les effets se manifestent dans notre corps. Cette tradition défend l’idée que la santé est pour les forts, que les médecins doivent traiter les maladies graves et non chercher activement à les prévenir. Les aliments extraits et transformés qui contribuent à l’accumulation de cholestérol et de graisses dans l’organisme contribuent à ces maladies, ainsi que le mode de vie et le manque d’activités qui y contribuent.
Les maladies considérées comme chroniques sont difficiles à traiter.
Par exemple, il faut des antibiotiques pour tuer les bactéries et les champignons, mais il est difficile de tuer les bonnes bactéries dans notre corps qui préviennent les infections. Si les antibiotiques sur ordonnance sont importants, la prévention primaire est le meilleur moyen de se soigner. Plus de prévention signifie avoir un système immunitaire plus fort, capable de combattre les infections. Nous devons donner à notre corps la capacité de mettre en place un mécanisme de défense naturel. Un mode de vie sain réduit le risque de ces maladies et permet au système immunitaire de continuer à lutter pour la vie.
Lorsqu’un médecin prescrit des antibiotiques
Il est important que le patient comprenne pourquoi ces médicaments sont nécessaires. Ils ne sont pas vraiment nécessaires. La croissance et le maintien du système immunitaire peuvent être pris en charge par les produits naturels et le mode de vie que nous adoptons.
Le mode de vie est la clé de la prévention des maladies. Ce que nous mangeons et ce que nous faisons à notre corps affecte sa santé. Les études actuelles montrent que les produits que nous utilisons ont un impact plus important sur notre corps et sur notre état de santé. Les produits que nous achetons ont un impact direct sur la vie quotidienne que nous menons. Cela signifie que nous devons gérer activement notre mode de vie afin de réduire le risque de maladies et de construire un système immunitaire fort.
Le régime alimentaire et le mode de vie ont un impact considérable sur le système immunitaire.

Certains aliments déclenchent le système immunitaire, tandis que d’autres l’inhibent. Certains de ces produits ont des propriétés absorbables, ce qui signifie qu’ils prennent de la place et peuvent avoir un effet néfaste sur le système immunitaire. Il est donc important de bien manger et d’éviter certains aliments riches en graisses, en sucre et en sel pour adopter un mode de vie sain.
Le concept de transplantation autologue est de mieux en mieux accepté et devient de plus en plus populaire. L’un des arguments de vente de ce type de traitement est sa capacité à stabiliser et à reconstituer le système immunitaire après un usage très fréquent. Le traitement autologue présente certains inconvénients. Tout d’abord, vous ne pourrez obtenir qu’une ou deux greffes, ce qui signifie qu’il y aura moins de greffes et que chacune d’entre elles aura moins de succès que la précédente. Deuxièmement, vous acceptez un risque de rejet de votre corps. Cependant, il existe une solution à ce problème. Vous pouvez faire retirer et remplacer vos globules blancs par cette procédure. Dans ce cas, votre médecin prélèvera un petit échantillon de votre moelle osseuse et le fera raffiner en laboratoire pour produire vos propres cellules souches. Vous pourrez ensuite faire extraire vos globules blancs des ganglions lymphatiques qui drainent le sang.
Les cellules souches peuvent causer des problèmes si vous avez un problème avec un certain gène. Si vous souffrez d’un problème médical qui affecte la production de vos globules blancs, la greffe ne sera pas un succès. Si votre gène pose un problème et que vous n’avez pas assez de cellules souches dans votre moelle osseuse, votre médecin peut décider d’opter pour une procédure différente. Dans tous les cas, des soins de soutien sont indispensables. Vous commencerez à prendre des aliments par voie orale six à huit semaines avant l’opération et vous ne serez pas autorisé à boire de l’alcool, de la nicotine, de la caféine et des boissons gazeuses. Vous devrez éviter les vernis à ongles épais, les médicaments sur ordonnance et les stéroïdes. Les médecins prendront de la poudre contre le psoriasis une semaine avant l’opération et un analgésique non narcotique vous sera administré deux semaines avant l’opération.
La veille de l’opération, vous vous reposerez généralement beaucoup et éviterez les activités fatigantes. Les médecins vous donneront des suppléments de carbure de calcium (1 000 mg) et de vitamine B6 ( 1 000 mg) en guise de thérapie pré-cutanée. Il est important de consulter votre médecin avant de commencer une thérapie métabolique ou à base de plantes.
Le jour de l’opération, la zone est nettoyée et du matériel stérile est chargé. En règle générale, une seule incision est pratiquée, mais il est probable que plusieurs autres seront utilisées au fur et à mesure que le chirurgien progresse dans l’opération. Vous serez soit sous sédatif, soit sous anesthésie légère, en fonction de la complexité de l’intervention et des risques probables.
L’incision sera faite par laparoscopie et les instruments seront insérés par deux petites ouvertures qui seront pratiquées dans votre ventre.